Nom : Zettai
Prénom : Keiji
Surnom (facultatif) : Kei
Orientation sexuelle : bisexuel (off course)
Caractère (minimum 6 lignes) : La première chose notable qu’on peut dire sur Kei est qu’il n’est pas sauvage. Il est certes peu engageant parfois, de par son caractère un peu vif, un peu trop vif il semblerait d’ailleurs. Il est très lunatique et ses goûts changent très souvent, pouvant se passionner une journée pour l’art, une autre pour la nature et le lendemain les détester tous les deux. Il a donc acquis au cour des années des bribes de culture sur une multitude de sujets allant de la culture des champignons de paris au système de chauffage des baignoires. Il est dur à suivre, manque cruellement de tact et autrefois ses parents craignaient chacune de ses paroles en société. Il aime se faire des amis mais préfère par-dessus tout parler à des inconnus, son plus grand rêve serait de voyager tout le temps pour rencontrer partout des gens nouveaux, de leur parler et de repartir le lendemain.
Physique (minimum 6 lignes) : Kei est plutôt petit pour son age, il ne mesure qu’un mètre 67, mais il n’est pourtant pas une personne qu’on peut définir d’inoffensive. Peu musclé et assez mince il sait tout de même se battre quand la situation s’impose même si il n’en a que rarement la nécessité. La première chose qui frappe chez lui est ses yeux, il en a des bleus, très profond, qui semblent transpercer ceux qui daignent le fixer. Son regard dissuade souvent les personnes qui lui veulent du mal. Il a les cheveux blonds, ondulés qu’il ne laissent pas pousser aux delà des épaules, taille à partir de laquelle ils le gênent dans ses actions diverses.
Il un look qui varie selon ses envies ou surtout selon ses moyens du moment.
La seule constante dans ses vêtements est son blouson, un blouson de cuir noir, vieux et abîme, qu’il n’arrive pas à abandonner pour une raison inconnue.
Histoire (minimum 10 lignes) :
Keiji est né dans une famille aisée dans une petite ville de l’île de Hokkaido, il a connu une petite enfance heureuse, entouré de parents aimants bien qu’un peu leste sur les règles ce qui lui a fait développer une certaine dépendance. Il prit à cette époque l’habitude de s’intéresser à tout et à rien, tuant ses longues journées dans les champs à observer les insectes ou dans les mares à imiter le chant des grenouilles. Il a grandi et à garder ce caractère qui lui a rapidement posé problème dans ses études. Pas stupide, il n’arrivait pas à concentrer son esprit bien longtemps sur les paroles des professeurs et se laisser divaguer à observer le battement des ailes d’une mouche ou la manière dont tenait la gomme de son crayon à papier.
Il eut des résultats médiocres à ses examens d’entrée à l’école, à 5 ans, et il fut directement classé dans la catégorie des nuls, des ratés, ceux qui ne feront rien de leur vie et devint peu à peu le « monstre » de la famille, partout où ses cousins réussissait, il s’écrasait et peu à peu se détachait du monde, plongeant dans sa bulle de connaissance inachevées, de pensées trop achevées et d’incompréhension totale.
Vers ses 9 ans, il tomba par hasard sur les longs pinceaux de dessin de sa mère et, après avoir renversé la moitié du flacon d’encre de chine sur le sol, il commença à peindre. Kei eut alors une révélation, toutes ses idées se retrouvaient sur le papier, ses divagations, ses recherches inutiles, tout pouvait passer à travers le bout de bois qu’il tenait dans ses mains.
Ce jour là, ses parents étaient partis au travail et, concentré sur sa découverte soudain obsédante il avait oublié de se rendre à la petite école miteuse du quartier où il était inscrit à défaut d’autre chose.
Le soir quand ils rentrèrent, ils découvrirent Kei, endormis, des dizaines de feuilles noircies par l’encre autour de lui, le sommeil tranquille, un sourire aux lèvres.
A partir de ce jour, il devint artiste, ses parents avaient alors une excuse pour ne pas l’envoyer à l’école, une raison de le montrer à la famille sans parler de ses résultats médiocres aux examens divers. Il commença à faire des stage jusqu’à l’age de 16 ans où, ne tenant plus il demanda à ses parents si il pouvait partir, voyager, quitter leur ville et suivre les maîtres dessinateurs, à travers le Japon,se débrouiller pour vivre comme il le pouvait.
Un jour, peu après ses 17 ans, il arriva devant le haut portail de la Queen of Heart’s Collocation, perdu dans une ville inconnue, Nagasaki, mais heureux de trouver un endroit à découvrir.
Il poussa la lourde porte qui grinça et entra, sa valise légère dans une main, un petit carnet dans l’autre dans ce qui serait, sa nouvelle maison